Constat sur notre rapport avec le sport, l'activité physique, à l'aube de 2026.

1. Un constat

2. Quels sont les freins à l'activité physique ?

3. Pour quelles conséquences sur notre santé physique et mentale ?

4. Quelles solutions concrètes envisagées ?

Un constat 

Mon expérience de coach sportif à Marseille m’a révélé trois réalités opposées, dont deux d'entre elles sont je pense très problématiques :

D’un côté, des personnes actives voir sportives,  mais qui entretiennent un rapport toxique avec l’activité physique :

• Culpabilité permanente face à chaque séance manquée

• Dépendance à l’effort intense comme seule validation de soi et preuve d'efficacité

De l’autre, celles qui évitent complètement l'activité physique :

• Déconnexion totale de leur corps et de ses signaux

• Méconnaissance des fonctions essentielles du mouvement et des bienfaits concrets des différents spectres de l’activité physique et de leur potentiel de résonnance ailleurs (professionnel, personnel, relationnel…) 

Et enfin les Français pour lesquelles l'activité physique est un mode de vie, un reflexe naturelle, changeant de forme (extérieur, intérieur…) de contenu (intensité/volume d'exercice physique) selon les saisons, les aléas du quotidien, sans que celle-ci ait une incidence négative sur leur vie.

Alors comment dépasser ces conduites et ces croyances toxiques ?

Déjà en NOMMANT les freins !

1. "Je ne trouve pas le temps" 

Ce n’est la plupart du temps pas d’une question de temps dont il s’agit, mais bien d’une méconnaissance des méthodes et donc d'un manque de FLEXIBILITÉ vis à vis de l’activité physique pour l’inclure naturellement dans notre vie. Le sport n'a pas besoin d'être une priorité numéro 1, devant travail, enfants, amis (...) pour que celle-ci fasse partie de notre quotidien.

2. “Plus c’est dur, mieux c’est”

Cette croyance encore trop présente dans notre inconscient collectif vous fait croire qu’un entraînement physique, sportif valable doit absolument vous laisser transpirant, courbaturé, fatigué. Alors que NON, la réalité est bien différente et complexe (heureusement) ! 

3. La comparaison permanente 

Aux autres : leur physique, leurs performances, leur rythme. Vous oubliez vos propres caractéristiques individuelles (morpho anatomiques, physiologiques...), votre historique sportif, médical, vos forces/faiblesses.

4.   “Tout ou rien” et où “si je ne peux pas faire 1h de sport, ça ne sert à rien.”

Dans toute reprise d'activité physique, remise en forme, ou apprentissage d'un nouveau sport, mouvement, un des meilleurs conseils que vous puissiez recevoir est celui de privilégier (avant même la durée ou l'intensité d'un entrainement) la FREQUENCE d'exposition à un stress mécanique et physiologique,  "produit par les muscles squelettiques entraînant une dépense énergétique supérieure au niveau de repos"(Caspersen et al. 1985). Cette fréquence aide considérablement à faire de l’activité physique un mode de vie sans que celle ci représente un coût mental insurmontable.

Exemple : 5 x 10 minutes hebdomadaires valent mieux que 1x 50 minutes ou 2 fois 25 minutes.

De plus vous constaterez de vous même que cette fréquence (au profit du volume et de l'intensité), favorise largement l'apprentissage moteur, autrement dit la mémoire motrice et la coordination associées à un nouveau geste (natation...); ainsi qu’une réduction du risque de blessure pour une modalité d’exercice spécifique

5. Ne pas savoir par où commencer (ou recommencer) 

Trop d’informations et de conseils contradictoires sur les réseaux. Musculation ou cardio ? Combien de séries ? Quel régime suivre ? Combien de temps ? (…)

D'où l'importance de fixer un ou des objectifs pertinents pour avancer correctement et dans la bonne direction. J'approfondis cette notion d'"objectif" dans cet article Quel "Objectif" ? pour vous aider à réfléchir sur la question.

Les conséquences de tout ça ? 

• Culpabilité, Frustration ou sentiment d’échec

• Paralysie totale face à l’abondance informationnelle 

• Attentes décorrélées de votre réalité bio-psycho-social 

• Perte de motivation, blessures à répétition 

• Cycles sans fin : motivation intense → abandon → culpabilité → reprise… et ça recommence

Et donc impossibilité de construire sainement sur le long terme

Les pistes de travail pour répondre à ces problématiques :

SIMPLIFIER le bruit, clarifier ce qui est essentiel pour VOUS.

Développer une vision à LONG TERME en installant des habitudes soutenables, et une capacité à être FLEXIBLE dans sa pratique, et des indicateurs de progrès ADAPTÉS à votre profil.

Candice A. , une de mes élèves, parle justement dans son témoignage sur la façon avec laquelle le coaching on a pu l'aider à clarifier et avancer dans son entrainement : Récits et Résulats

Ainsi, le sport peut devenir vecteur de fluence globale grâce à : 

• Plus de PRECISON

• Plus de CONNEXION

• Plus de CONFIANCE

Pour mieux comprendre cette notion de "fluence", je vous renvoie vers cet autre article de mon site : La fluence corporelle : lire et manier son corps comme un texte vivant

C’est pour toutes ces raisons que je peux vous accompagner, guider dans votre activité, en présentiel ou distanciel avec Fluens Coaching, ou "l'art d'affiner le mouvement vers un reflexe durable et maitrisé".(consulter aussi : "Coacher" ce n'est pas que ce que vous croyez !)

Pour toute questions supplémentaires ou envie d'échanger sur votre situation et perspectives : https://calendly.com/fluenscoaching

Pour en savoir plus sur mon parcours, mes services je vous renvoie sur cette page : Accueil